Sophie
Ton irrémédiable absence.
Toi tu n’es pas et me tues
Dans d’atroces langueurs
Aux vides heures blêmes d’attente.
Il est des heures où je suis néant,
Où mon c½ur implose en son vide trop dense
Et pleure au fond de moi.
1976-05-22
Yvon Henel
Le grand Fleigny, Rouilly